Avec La Chambre des diablesses, Isabelle Duquesnoy nous plonge dans un Paris du XVIIe siècle aussi fascinant qu'effrayant. J’ai été séduit par l’intelligence du propos, la beauté de la langue, et l’ambiance sombrement envoûtante de ce roman historique. Une très belle lecture.
Lire la suite de La Chambre des diablesses – Isabelle Duquesnoy : une immersion captivante dans les ténèbres du Grand Siècle
Avec Je suis Pilgrim, Terry Hayes signe un thriller magistral, haletant de bout en bout, qui mêle enquête, espionnage et géopolitique avec une redoutable efficacité. Un roman dense, mené de main de maître, qui m’a tenu en haleine de la première à la dernière page. Un véritable coup de cœur.
Lire la suite de Je suis Pilgrim – Terry Hayes : un thriller magistral au souffle mondial
Avec Gagner la guerre, Jean-Philippe Jaworski signe un roman de fantasy ambitieux, foisonnant, et terriblement brillant. Porté par la plume baroque de l’auteur et son antihéros inoubliable, ce récit dense mêle complots, duels et philosophie politique avec une virtuosité rare. Un coup de cœur inoubliable.
Lire la suite de Gagner la guerre – Jean-Philippe Jaworski : un chef-d’œuvre de fantasy française à savourer lentement
Avec Le Rêve du jaguar, Miguel Bonnefoy livre un roman ample et baroque, traversé de rêves, de luttes et de légendes, sur fond de Venezuela en mutation. Malgré une écriture foisonnante et des figures fortes, j’en ressors avec une impression mitigée : admiratif par moments, mais un peu désorienté aussi.
Lire la suite de Le Rêve du jaguar – Une fresque ambitieuse qui m’a laissé un peu à distance
Dans Les Guerriers de l’Hiver, Olivier Norek délaisse les ruelles sombres du polar pour s’aventurer sur un tout autre terrain : celui de la guerre, de la neige, du silence. Pour la première fois, l’auteur signe un roman historique, immersif et bouleversant, qui nous plonge au cœur de la Guerre d’Hiver entre la Finlande et l’URSS. Une lecture saisissante, inattendue, et profondément humaine.
Lire la suite de « Les Guerriers de l’Hiver » – Olivier Norek change de registre, et c’est une claque.